Alerte aux ragondins (suite) !

Après plusieurs mois de patience, l’ASGV a visité les berges du ru du Balory ce 8 mars 2023, accompagné d’un représentant de la Fédération de Chasse du 77.

Il semblerait que les ragondins soient partis.

En effet, aucune trace récente de ragondins n’a été remarquée (déjections, grignotages de jeunes pousses d’arbres ou tonte des pelouses).

Dans le jardin de Mme Anaya (Rue d’Avon)

Le terrier de la rue d’Avon semble avoir été déserté (les parois ne sont plus lisses).

Au regard de ces observations, aucun piégeage ne sera donc mis en place.

Cependant, il est quand même nécessaire de surveiller notre ru, des remplaçants pourraient revenir. Dans ce cas, avertissez le plus rapidement possible votre délégué(e) de rue, si vous n’arrivez pas à contacter un membre de l’ASGV.

Il ne faut surtout pas les nourrir !

Une dernière recommandation nous a été faite : éviter de les acculer dès lors ils peuvent devenir alors très agressifs.

Ceci ne concerne pas nos chiens puisque nous les tenons en laisse … 

Caractéristiques et mode de vie :

Le ragondin (Myocastor coypus) – nom que l’on a orthographié rat gondin jusqu’en 1869 – est un mammifère semi-aquatique qui appartient à la famille des Echimyidae. Il est classé dans la famille des animaux nuisibles

Le ragondin possède une épaisse fourrure brun foncé, totalement imperméable, qui a d’ailleurs largement encouragé son introduction dans de nombreux pays du monde car elle était utilisée pour la confection de manteaux.

Pour communiquer il utilise différents sons tels que des cris stridents, des babillements, des sifflements ou bien encore des gémissements, chacun ayant une signification bien particulière. De ce fait, il est relativement bruyant.

Le mâle adulte mesure jusqu’à 1 m de longueur, ce qui inclut sa queue (40 cm), et peut peser 9 kg. La femelle, plus petite affiche une longueur totale de 40 cm pour un poids d’environ 5 kg.

Son habitat est les étendues d’eau, les mares, les ruisseaux. Il gîte dans des galeries qu’il creuse dans les berges, participant ainsi activement à leurs affaiblissements, leurs dégradations. En France, il n’a pas de prédateur. Seul le piégeage reste fructueux.

Il se reproduit et donne des portées de 4 à 6 sujets, sa durée de vie est de 4 ans environ. Il est herbivore et affectionne les jeunes pousses des arbres. Selon son habitat, il peut construire des barrages entravant le flux du cours d’eau.

Cela fait plusieurs années que nous n’avons pas de vrais hivers : les conditions sont vraiment favorables au développement de ces nuisibles. Le temps, clément, joue en faveur de la fécondation.

Le Ragondin, un danger sanitaire :

Le ragondin est porteur de nombreuses maladies transmissibles à l’homme et à d’autres animaux (domestiques et sauvages), dont la leptospirose. Moins fréquente que la zoonose, elle est bien plus dangereuse.

Difficile à détecter, car le sujet est atteint de « simples » symptômes grippaux. Une personne en pleine forme, grâce à un système immunitaire fort, s’en remettra en quinze jours.

Pour les plus vulnérables, cette maladie peut être mortelle pour l’homme et les animaux domestiques en cas de complication.

Toutes les personnes utilisatrices de la ressource en eau et des milieux aquatiques doivent être informées sur les risques encourus. « Les gens qui se baignent dans les cours d’eau ou qui utilisent l’eau présentent un risque ». (Eric Charpentier, technicien à la FDGDON 61)

Transmissible par le biais des excréments et de l’urine, cette maladie s’implante au niveau du foie : des larves vont s’y développer, sur plusieurs années, les personnes atteintes ne survivent que grâce à une greffe de foie.

Les deux municipalités de Cesson et Vert St Denis sont saisies de ce problème à qui il incombe de piéger ces nuisibles.

Restez donc prudents !

Les chenilles sont déjà de retour !

En avance, cette année les chenilles processionnaires ont déjà fait leur apparition sur les pins de la copropriété.

En plus de la présence des éco-pièges qui viennent d’être récemment contrôlés, un professionnel interviendra dans les jours qui viennent afin de cueillir et détruire les dits cocons et nettoyer les rigoles des pièges encombrées d’aiguilles de pin ou de feuilles.

Aucune crainte à avoir : les chenilles à l’état larvaire restent enfermées bien au chaud dans leur cocon jusqu’au “début du printemps” (période variable).

Des visites régulières seront effectuées afin de protéger nos enfants, nos animaux et nous mêmes.

Pour en savoir davantage, c’est ICI.

Les copeaux nouveaux sont arrivés.

Suite aux élagages de l’entreprise Lelarge (semaines 48 & 49), nous avons récupéré les copeaux des tailles effectuées sur le domaine de GV.

Ces copeaux, mis en tas sont entreposés dans la “grande prairie Sud” et à divers endroits de la copropriété.

Ces copeaux serviront aux garnissages de nos massifs, de nos haies et de nos arbres fruitiers mais vous pouvez librement en disposer tout naturellement.

Si à titre personnel, vous vous interrogez sur leur utilité, je vous conseille de consulter cette vidéo.

Des perruches à colliers à Grand Village.

Perruche aperçue Rue de GRETZ (Don de Mr COSSON)

Elles sont partout à Paris : au Jardin des plantes, au bois de Vincennes, aux Buttes-Chaumont, au cimetière du Père-Lachaise… Les perruches à collier colonisent la capitale et la région parisienne et ce, depuis plusieurs années. D’après la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), elles seraient plus de 8 000 en Ile-de-France. Une prolifération telle que la perruche à collier est aujourd’hui considérée comme une espèce exotique envahissante, autrement dit une espèce dont l’introduction et/ou la propagation menace la diversité biologique.

Originaire des forêts tropicales d’Afrique subsaharienne et des terres fertiles d’Inde, l’oiseau serait apparu en France au cours des années 1970. Avec leur bec rouge, leur plumage vert et le collier noir bordé d’un liseré rouge rosé qu’arborent les mâles, les perruches à collier attirent alors des citadins en quête d’exotisme. En 1974, une cinquantaine d’entre elles, qui devaient être vendues à des oiseleurs et des animaleries, s’échappent d’un conteneur à Orly. Vingt ans plus tard, le même phénomène se produit à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle. Depuis, les deux colonies se sont croisées, et ont donné naissance à une multitude d’autres.

La perruche à collier menace-t-elle les écosystèmes franciliens ? Le sujet fait débat. D’après les observations, la perruche n’aurait pas plus d’effets sur les autres oiseaux que la pie ou la tourterelle.

La population francilienne de perruches à collier augmente d’environ 20 % par an.

Alors qu’elles se concentraient auparavant à proximité des aéroports de Roissy et d’Orly, d’où les premières – importées dans des containers depuis l’Asie et l’Afrique – se sont échappées il y a deux décennies, on en trouve désormais quasiment partout dans la région Ile de France.

 Elles se répandent dans les zones urbaines, ce qui représente tout de même près d’un quart de la surface de l’Ile-de-France. Les zones pavillonnaires sont leur habitat préféré et elles adorent les villes avec des parcs. Elles sont déjà présentes dans toutes les grandes métropoles européennes.

La perruche à collier est considérée comme une espèce invasive, qui peut déséquilibrer la biodiversité francilienne. Incapable de creuser dans les arbres pour faire son nid, elle préfère utiliser ceux déjà faits. Problème : elle peut alors entrer en concurrence avec d’autres oiseaux aux mêmes habitudes, comme les sittelles, les pigeons colombins et les étourneaux. Un conflit qui peut aller jusqu’à la mort des volatiles expulsés.

Elles ne sont en rien responsables du déclin des moineaux, même si leur arrivée est concomitante.

La LPO précise néanmoins que des idées pourraient être mises en place pour limiter leur prolifération : par exemple, entourer les boules de graisse d’un grillage à large mailles, qui laisse passer les petits oiseaux mais pas les gros, dont les perruches.

Exemple de protection contre les gros oiseaux.

Pour en savoir Plus (vidéo Youtube).

Alerte vols, arnaques, cambriolages !

Attention ! Une recrudescence des cambriolages habitations et voitures est enregistrée sur les communes de Cesson et de Vert St Denis. Le mode opératoire semble assez simple : fracturation des portes et fenêtres à l’aide d’un gros tournevis ou autres objets à levier. [plutôt, côté jardin](source Police Nationale). Ces actes surviennent la nuit mais parfois aussi en pleine journée et même en présence ou non d’un occupant.

Redoublez de vigilance ! Ne laissez rien en évidence dans l’entrée : pochette, clés de véhicules, etc… Restez vigilant(e)s.

Notre Conseil : Informez-vous auprès d’une société de Télésurveillance afin de protéger le domicile et aussi les personnes.


Vols des papiers, CB, CNI et autres… Cette arnaque malheureusement est de plus en plus répandue, particulièrement sur des personnes seules et/ou vulnérables.

Une habitante de Grand Village d’un certain âge a été victime de cette machination sur un parking d’une grande surface, tout près d’ici.

Alors qu’elle s’apprêtait à charger dans son coffre le contenu de son caddy, un jeune homme à priori affable lui fait observer qu’un des pneus de sa voiture est crevé. Il lui propose alors gentiment de lui changer sa roue gratuitement, s’il elle le désire. Désemparée et contrariée devant la situation, notre habitante a alors accepté la proposition se voyant ainsi bien soulagée.

L’individu a remplacé la roue “gracieusement”. Notre habitante l’a alors remercié et gratifié d’un pourboire. En rentant dans son véhicule, quelques minutes plus tard, elle s’aperçut de la disparition de son sac à main : CNI, carte bancaire… et naturellement du mécanicien d’occasion.

Le ru du Balory et les orages.

Suite à plusieurs orages violents, celui du 19 juin (voir ci-dessous) et ceux des 9, 10 et 11 septembre, le ru du Balory est sorti plusieurs fois de son lit.

Ces orages ont provoqué de larges débordements et entrainé même des inondations d’habitations.

L’ASGV a alerté GPS dès le premier orage du 19 juin

Lundi 13 septembre, un expert de l’agence Suez (prestataire de GPS) est venu constater les problèmes d’engorgement que connait le ru du Balory, en présence d’un membre du Bureau du CS.

L’ASGV attendait ce rendez-vous depuis plus deux mois.

Dans sa première partie, entre le pont de la rue d’Ormesson et celui de la rue de Seine Port, le tracé du ru est étroit et sinueux ce qui favorise les dépôts d’alluvions.

Un dépôt de limon, en amont de Grand Village (travaux BTP en cours) a relevé le lit du ru par l’amoncellement d’alluvions et de ce fait développé la pousse et la prolifération abondantes d’herbes vertes auxquelles s’ajoute une herbe de type “chien dent” sur le bord des berges, freinant ainsi l’écoulement naturel.

Toute cette végétation et le dépôt de limon gênent considérablement l’écoulement de l’eau.

Un nettoyage important de cette partie du ru est nécessaire et va être entreprise. Travail délicat puisqu’il faut préserver l’écosystème. Les régulateurs de débit en amont vont être visités pour vérifier s’ils remplissent bien leurs fonctions.

Dans la seconde partie du ru, entre la rue de Seine Port et la rue du Gros caillou, le tracé du Balory est plus rectiligne, le lit plus large et le dépôt de limon moins abondant. Un nettoyage devrait être réalisé par Suez. Nous attendons le rapport d’inspection.

Lors de cette visite nous avons malheureusement dégagé bon nombre de détritus qui polluaient et gênaient eux aussi l’écoulement de l’eau (cannettes, boites de kébab, table …).

Également, nous avons constaté des dépôts important dans les conduites des eaux pluviales des rues et des chemins roses. Une intervention, là aussi, sera nécessaire.

Nous attendons avec impatience un retour de l’agence SUEZ et nous ne manquerons pas de vous en informer.

L’orage du 19 Juin

Le samedi 19 juin, un violent orage s’est abattu sur Grand Village, faisant sortir subitement de son lit le Balory, ameublissant les berges et provoquant quelques dégâts forestiers.

Photos de M Jean Guillon

Tronçonnage de la huppe et dégagement de la voie

Suite à un examen attentif des autres vieux saules situés à proximité, nous avons été amené à en abattre 3 autres qui menaçaient de tomber dans le ru et/ou chez un copropriétaire pour partie.

Suite aux abattages, le reste des souches est édifiant !

Assemblée Générale Ordinaire 2021

L’état actuel de la pandémie ne nous permet pas encore de nous réunir cette année en présentiel. L‘AGO se déroulera par un vote par correspondance, le Samedi 18 Juin. Les bulletins de vote doivent parvenir à l’ASGV le Mardi 15 Juin à 23h59 au plus tard.

Vous avez accès ci-dessous aux documents distribués ou envoyés à chaque copropriétaire.

Le tri sélectif arrive.

Afin de procéder à un ramassage sélectif et tendre doucement vers des actes écologiquement responsables, de nouvelles poubelles arrivent sur Grand Village. Ce dispositif sera ensuite déployé sur l’ensemble du territoire de GV.

L’usage en est le même qu’à la maison ; ces poubelles accueillent : les papiers, les canettes et bouteilles (aluminium ou verre), les cartons (réduits si possible), les emballages de friandises etc. Des autocollants apposés vous permettront de vous guider. Pour les autres déchets (déjections canines et autres), continuez à utiliser les poubelles marron.

Remplacement de notre jardinier André WOJCIK

Notre jardinier, M André WOJCIK sera absent plusieurs semaines voire au delà pour raisons de santé.

Après bien des aléas de recrutement, nous avons finalement opté pour un prestataire de service en espaces verts. Il s’agit de la micro entreprise : Enjoy-Garden . Elle interviendra dès la semaine 13 avec ses propres matériels. Ne soyez donc pas surpris de voir des véhicules “étrangers” parcourir la copropriété de Grand Village. Elle a été retenue selon les critères de rémunération de M WOJCIK.

Nous tenterons de nous tenir aux objectifs prévus de plantations selon l’état d’avancement des tâches quotidiennes.